Je suis le vent
Éole on me nomme
de la vie je suis le souffle
et pourtant l’on me craint
car de la mort je suis la main.
Créatures éphémères que la peur égare
le feu je crée avec vos cigares
il me suit ou me précède
et vous détruit, je le concède.
Mais ainsi va la Vie
que ni vous ni vos envies
ne fera dévier de sa route
par vos armées en déroute
ainsi le chaos naitra
puis, comme toujours, Elle réapparaitra …