Nos blogueurs ont du talent

elle  s’est emparée de ma nuit la pieuvre de l’été m’entourant entièrement  folle et terriblement furieuse  faisant de moi sa

un soir d’été à tenter l’attentat  trop entêtée que j’étais  enivrée par ta vue  comme si d’un souffle j’avais pu

il faudrait que je ne dise pas non plus qu’à la lisière de ma nuit j’ai crié fort si fort

la terre tourne sur moi-même  en train de trépigner  me renfrogner et presque  décliner de ma sphère car j’attends le matin

tous les nuages ne cumulent pas non plus tous nos défauts à vouloir côtoyer  les sommets pour finir comme Icare

y a-t-il  autant de langages amoureux que d’amoureux autant d’amoureux que de rayons de soleil pour chaque fleur sa part

à la folie  des feux d’artifice  je préfère les étoiles  que tu distilles par milliers  j’en ai composé une fleur

si tu savais à la forme du ciel quand les nuages te narguent et le soleil insiste pour caresser ta