« Respectons Dame Faucheuse qui éternellement va les chemins sans se plaindre de son sort. Un tel métier pourtant n’est pas une vie, ravir les morts aux vivants quel qu’en soit le prix ! » Ainsi parlait le sage méditant très fort.  » Allons donc l’ami, sans son office nous serions trop nombreux à danser dessus la terre et non dessous, notre Gaia n’en supporterait pas les coups. Pourquoi la Mort se plaindrait-elle d’une tâche si essentielle ?  » répondit le fou. La Camarde fine mouche rôdait en ce lieu, à ces mots elle ne fit donc ni une ni deux et du sage comme du fou elle s’empara, se plaignant au passage du grand poids du sage et du grand vide du fou, à moins que ce ne fut l’inverse, qui de son attelage déséquilibrait le tout !

un petit billet de ma composition !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

RSS
Follow by Email
Pinterest
Pinterest
fb-share-icon
LinkedIn
LinkedIn
Share
WhatsApp
FbMessenger
Mastodon

En savoir plus sur Le Livre et la Plume

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading