Je suis le fluide vital
de tout être, animal.
Pourtant, si je maintiens la vie
Las!, l’on me troque à l’envie,
d’antiques sacrifices divins
sont devenus des tueries, en vain !
Mais qui comprendra enfin
que ce sort n’est que la fin
de hères perdus à jamais,
et mes larmes n’y peuvent mais.
Or ni bleu, ni soir ne suis
seul rouge, que rien n’essuie.
Ainsi cessez donc de me gâcher
Car votre âme vous entachez !
03/02/24