Le roi de la basse-cour — L’atelier peinture de Christine

»-. Cela s’appelait le sexage. Les fermiers qui connaissaient leur affaire étaient capables d’examiner un poussin nouveau-né et de déterminer, avec une marge d’erreur de vingt pour cent, si c’était un mâle ou une femelle. Au magasin animalier, les poules sexuées étaient plutôt plus coûteuses. L’option la moins chère consistait à acheter des animaux de […]

Le roi de la basse-cour — L’atelier peinture de Christine

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

RSS
Follow by Email
Pinterest
fb-share-icon
LinkedIn
LinkedIn
Share
WhatsApp
FbMessenger
Mastodon

En savoir plus sur Le Livre et la Plume

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading