
”-. À mesure que l’hiver s’avançait, le temps devenait plus rude et les gens plus affamés et plus pauvres. Et comme les émigrés affluaient à Paris en nombre croissant, les bijoutiers payaient des sommes toujours plus faibles. Evgenia vendit le 1er décembre sa dernière paire de boucles d’oreilles, et elle fut horrifiée du peu qu’on […]
La morsure de l’hiver — L’atelier peinture de Christine