
“-. Ce monde qu’il découvrait, c’était un monde d’une grandiose, d’une incomparable beauté. Il ne ressemblait en rien de ce que Philip avait jamais vu, de ce qu’il n’avait jamais pu lire, ou rêver. On eût dit une vision de la jeunesse du monde, alors que la terre était encore informe et vide. Entre des […]
Hallucinations — L’atelier peinture de Christine