
»-. Le malheureux est persuadé, en quelque prétentieux tréfonds, qu’il va être visité par un chant inédit, et sera le premier à dire la ville comme elle ne l’avait jamais été avant lui. Il ignore, ce pauvre amoureux, que Venise, depuis des siècles, a été courtisée par tous les tons et sur toutes les musiques. […]
À nous deux, Venise ! — L’atelier peinture de Christine