
»-. On a dit que Sarpi aimait sa ville natale comme jamais un homme n’a aimé un lieu. S’il était contraint de quitter les îles du Rialto pendant plusieurs jours, il sanglotait, il était physiquement malade. Sarpi aimait tant Venise, s’il faut en croire son biographe Micanzio, qu’il aurait été capable de convaincre Dieu qu’elle […]
Immortelle Venise — L’atelier peinture de Christine