
Tout autre que mon père l’éprouverait sur l’heure… »-… Puis l’âge vint. Entouré de sa femme et de ses enfants, le comte Rodrigue Diaz de Bivar vieillissait. Parfois, il se rappelait qu’on l’avait nommé le Campeador, le Cid… Il s’en allait chercher Tizona et, polissant la lame damasquinée, il racontait ses combats. Alors, ses rides s’effaçaient, […]
Rodrigue, as-tu du coeur ? — L’atelier peinture de Christine