
»-. Ce fut le cuisinier du Salvador qui nous fit les honneurs du bâtiment. Un métis d’une cinquantaine d’années, fort comme un Turc, le visage ravagé par la petite vérole, l’oeil dur, la bouche bestiale. Il était vêtu d’un pantalon de toile couvert de cambouis et d’un maillot de corps douteux. En un mot, un […]
Les charmes d’une croisière sur »Le Salvador » — L’atelier peinture de Christine