
»-. Sur nos têtes, le ciel ne gardait de ses nuages que quelques traces légères, pareilles au peu de cendre blanche que laissent les bûchers consumés. Le soleil embrasait en cercles les cimes des rochers, faisant jaillir sur l’azur leurs lignes solennelles. D’en haut une grande tristesse et une grande douceur tombaient dans l’enceinte solitaire, […]
Énorme et tragique paysage — L’atelier peinture de Christine