
»-. Le début du voyage sur le Rio Negro fut surtout un exercice de patience. Ils avançaient à l’allure d’une tortue et, dès que le soleil se couchait, ils devaient s’arrêter pour éviter d’être heurtés par les troncs que charriait le courant. La chaleur était intense, mais au crépuscule la fraîcheur tombait, et pour dormir […]
Sur le Rio Negro — L’atelier peinture de Christine