Voici les deux derniers vers de « Les deux taureaux et une grenouille » ( Livre II, fable 4). Cela montre clairement ce que pensait le poète, même s’il avait l’habileté et le talent de raconter des histoires pour faire passer ses pilules !
Voici les deux derniers vers de « Les deux taureaux et une grenouille » ( Livre II, fable 4). Cela montre clairement ce que pensait le poète, même s’il avait l’habileté et le talent de raconter des histoires pour faire passer ses pilules !
[…] Jean de La Fontaine ‘Le Singe et le Léopard’, peut-être encore à méditer ?… […]
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