L’étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture ne m’ait ôté. »
MONTESQUIEU (1689-1755), Cahiers(posthume)

L’étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture ne m’ait ôté. »
MONTESQUIEU (1689-1755), Cahiers(posthume)
A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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[…] » Si je savais quelque chose qui me fût utile et qui fût préjudiciable à ma famille, je le rejetterais de mon esprit. Si je savais quelque chose qui fût utile à ma famille et qui ne le fût pas à ma patrie, je chercherais à l’oublier. Si je savais quelque chose utile à ma patrie et qui fût préjudiciable à l’Europe et au genre humain, je le regarderais comme un crime. « MONTESQUIEU (1689-1755), Cahiers (posthume) […]
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